Chaque thérapeute énergétique doit être conscient du fonctionnement de l’être humain. Cette affirmation semble évidente mais est-ce bien le cas ? Souvent, il impose ses mains et transmet de l’énergie sans se rendre-compte du fonctionnement de son patient. Ainsi, parfois, il aggrave la pathologie qu’il devrait traiter. Voyons cela en détail.
D’abord, il doit modifier sa vision et ne pas agir comme le fait la médecine traditionnelle qui considère uniquement le corps physique comme une machine à réparer avec des molécules de synthèse et leurs cortèges d’effets secondaires, qui font le bonheur des laboratoires et des firmes pharmaceutiques. L’être est interdimensionnel et divin. Le praticien énergétique va donc considérer l’individu comme un tout holistique en prenant en compte son champ physique, émotionnel, mental, causal et spirituel. Il va travailler essentiellement sur l’interface qui se nomme le corps éthérique, c’est le corps qui participe au bon état du corps physique à travers le fonctionnement des glandes endocrines par exemple. Cette interface donc, possède une conscience propre qui communique avec l’ensemble des plans de l’être en souffrance. Lorsqu’une discordance apparaît, il faut en rechercher la cause et non pas l’effet. Le mental du vrai praticien est focalisé sur l’harmonie de l’ensemble subtil, il dirige sa conscience vers l’agent perturbateur qu’il va circonscrire et transmuter. En fait le processus est simple, il agit sur la causalité du dysfonctionnement, qu’il traite, dessèche ou détruit les congestions, blocages, miasmes, parasites. Ensuite dans une deuxième phase, il va intentionnellement canaliser la Pure Force de Vie vers le patient pour le recharger et parfaire la symbiose de l’ensemble subtil. C’est ce dernier qui va s’autoguérir en participant volontairement à ce transfert. Le thérapeute sait que l’énergie est information et qu’elle va s’ajuster conformément aux nécessités du patient. Alors, sereinement, l’équilibre redeviendra la norme. L’être étant de nature inter-dimensionnelle sous ses aspects : physique, éthérique, émotionnel, mental, causal, spirituel et divin, il fonctionne en synergie et de concert avec la Création. La maladie est simplement un message d’alerte qui signale un dysfonctionnement dans les vêtements de l’Âme/Conscience incarnée. Platon disait déjà à son époque que les maux du corps étaient les mots de l’âme, ainsi on ne doit pas chercher à soigner le corps sans chercher à guérir cette entité incarnée. Le patient devra avaliser cela et après cette phase de soin, en prendre acte pour modifier son comportement et ses pensées. L’Amour de la vie est le lubrifiant universel et il faut le faire savoir ! Que fait le thérapeute Reiki pour être dans le bon tempo ? D’abord, il déplace sa conscience dans sa propre Âme/Conscience Christique car c’est depuis là, qu’il travaille. Ne focalisez pas votre mental sur le vocable Christique. C’est un état d’être qui remonte à la nuit des temps et non pas un dogme religieux. Le thérapeute est alors un acteur de Lumière agissant. Rien de moins, rien de plus. Il sait, il agit, puis se retire. La guérison sera ce qu’elle sera, ce qu’elle doit être en fonction du libre-arbitre du receveur et de son chemin de Vie. Voilà l’état du thaumaturge qui prend du recul quant aux résultats. Comprenez bien ici qu’il existe une différence fondamentale entre traiter, soigner et guérir, la même qu'entre soi-nier (quelqu’un qui renie le « Soi » véritable en lui) et gai-rire (retrouver l’harmonie, être gai, rire etc.). Traiter (c’est le rôle du thérapeute), soigner (c’est le rôle de cette Essence de Vie) ce qui supprime les causalités du trouble alors que guérir (c’est le rôle du patient) ce qui signifie accéder au sens de la maladie et en comprendre la blessure originelle pour revivre vraiment. Je le répète pour enfoncer le clou : Le thérapeute traite, la Force de Vie soigne et le patient se guérit ! Il faut donc inviter ce dernier à bien saisir sa responsabilité dans son état et à se transmuter. Moins de jugements, de critiques ou de stress mais au contraire de la douceur, de la compréhension et une sorte de psychothérapie pour décrire l’origine des troubles car il n’y a jamais de hasard dans les malaises constatés. Avouez que nous sommes loin de l’approche matérialiste et mécaniste de la médecine classique, dont le lobby est protégé par le code de la santé publique, et qui est assez folle pour assimiler l’être humain à une machine sans âme, le tout approuvé sans réserve par le conseil national de l’ordre des médecins. C’est de l’inconscience ! Heureusement les mentalités changent tout doucement. Des associations de médecins, certains syndicats ou encore certaines associations de patients militent pour la dissolution de l'Ordre. Lorsqu’on ne parvient pas à se comprendre par des mots on dit que le corps s’en charge et le traduit par « des maux ». C’est limpide !
On peut dire en conclusion que la maladie est une amie qui nous veut du bien. Cette cause métaphysique a pour but de nous aider à changer, à transformer notre vision de la vie. Elle est une invitation au bonheur et à se retrouver comme entité de Lumière. Dans ce domaine comme dans d’autres, le hasard n’existe pas, je le répète pour enfoncer le clou.
P/B
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